Le but de ce weekend est de tomber le plafond de la chambre blanche ainsi que le lambris du hall.
Je commence par attaquer le lambris sur le plafond du hall (voir plan). Tout est cloué et à bonne hauteur ce qui implique de faire un peu l’équilibriste sur l’escabeau pendant que le lambris et l’isolant me tombe dessus.
J’en profite pour ôter les reliquats du double placard que je n’avais pas pu finir la dernière fois. et le résultat est plutôt encourageant !
J’abuserai même un peu en enlevant le lambris en dessous dudit placard. L’occasion de vérifier que Gégé est toujours à sa place bien cachée sous le bordel.
Il est maintenant temps d’attaquer la grosse partie : le plafond de la chambre blanche. C’est pas simple je ne sais pas comment attaquer le bazar…Par dessous pour descendre en premier les plaques de placo doublées polystyrène ou alors par le dessus et donc par l’agglo. Finalement après quelques essais je pars sur la seconde solution et je démonte le plafond en l’attaquant par le dessus.
Le pied de biche est mon ami ! Mais comme la sous couche en placo n’est clairement pas apte à supporter mon poids plume (… ahem), je procède comme suit : d’abord déclouer les plaques d’agglo et les tirer vers moi pour avoir un jeu sur la rangée suivante. Le tout en travaillant rangées par rangées en avançant vers la pente de toit. Et pour éviter de passer au travers, je sors les plaques d’agglo en faisant l’inverse. De la pente de toit vers le hall. Je descends ensuite le tout grâce à mon fidèle treuil mais c’est extrêmement chronophage : attacher les planches au treuil, descendre le tout, descendre d’un étage, désangler les planches, remonter d’un étage … ça fait les cuisses mais c’est long.
Heureusement que je travaille bien au frais Blague à part il faut bien penser à s’hydrater, en plus ça fait la petite pause et ça aussi c’est bien !
Étape suivante : virer les plaques de placo entre les solives. Dans la mesure où il y a des tasseaux en dessous pour les maintenir en place, je les fais tomber depuis l’étage inférieur en m’aidant du pied de biche. Tout de suite ça fait plus aéré !
Ce sera la fin du démontage pour le weekend. Oui parce que ça parait rapide comme ça en lisant mais en vrai ça prend vachement plus de temps. Et il y a une chose qu’on oublie vite c’est que tout ce qu’on démonte il faut ensuite le sortir et le mettre à la déchetterie ! Je suis parti d’un emplacement presque vide pour finir avec tout un paquet de bordel à manutentionner (passer par la porte fenêtre).
Fort heureusement je peux compter sur mon fidèle Kangoo pour lui en mettre plein le coffre histoire de faire les aller-retours en déchetterie ! Je fini par être connu là bas moi maintenant ha ha.
Je suis quand même bien content de mon avancée. C’est motivant de voir ce volume qui grandi petit à petit.