Peu de nouvelles ces derniers temps alors que je roule quand même assez souvent. Dans mes derniers achats moto, j’ai craqué pour la dernière version du GPS Tomtom pour les motards : le Rider. Du coup je ne cherche plus mes routes et je découvre des petites routes de derrière les fagots de toute « beuautéï ».
La balade du jour est un peu particulière puisqu’il s’agit d’une reconnaissance pour et avec un collègue du boulot : Julien, j’en parlerai un peu plus tard. La balade du jour est un assemblage de différentes balade et une petite nouveauté pour relier Ugine à Saint Jean de Sixt.
Rendez-vous neuf heures histoire de pouvoir faire des choses l’après-midi. On va dire que le sommeil n’est pas bien loin et que ce n’est pas la grosse énergie. Direction un petit col découvert lors du premier test de mon GPS : le Col de l’Avernaz. La « marche d’approche » s’avère ennuyeuse avec des routes trop droites mais surtout trop fréquentées. Enfin les premières montées. La route est de bonne qualité même si on a l’impression d’être au milieu de nulle part. La descente sur Onnion est vraiment très belle mais ce serait encore plus sympa dans le sens de la montée.
Le reste est très classique : la Clusaz par le Col de la Colombière avec la petite touche « aventure ». C’est une sorte de grosse compression dans un virage qui fait décoller et si on a pas adapté sa vitesse on peut finir dans le mur … Hein Julien ?
Ensuite on enchaîne sur le col des Aravis. C’est la que je prends un coup de sang : ces salopards de cyclistes qui se croient seuls sur la route (alors que c’est bien connu : la route appartient aux motards). Les caisseux qui doublent les cyclistes sans regarder s’il n’y a pas déjà quelqu’un qui les double. Bref ma tension de grand-père s’envole, je fais cracher ses tripes à Géraldine et on roule un peu sale jusqu’à Ugine où lors d’une petite pause je décompresse.
A partir de là c’est le retour jusqu’à Saint Jean de Sixt par Thones et on découvre une petite route de montagne pas forcément très large mais en tout cas vraiment propre. C’est le Col de l’Essérieux. Je pense que celui de l’Epine juste à côté ne doit pas être mal non plus. Et ensuite c’est le retour à la maison via les gorges du Borne.
Je vous parlais de Julien un collègue du taff, et bien il va donner son avis de temps à autre sur nos balades. Cette rubrique s’appellera « l’avis du kéké ». Julien, à toi le micro :
Partir pour un trip de 4h un samedi matin dès 9h ? Mais quelle idée j’ai eu … Allez hop, on se met en route un peu difficilement sur le Col des Brasses, avec la tête dans le cul et les quelques routes à chèvres spécialement dénichées par Matt. Mes poignets te remercies. 🙂
Première partie de route sympa, avec le fameux Col de la Colombière, mais déjà beaucoup de voitures et de cyclistes malgré l’heure plutôt matinale … surement à causes des vacances scolaires. Deuxième partie plus sinueuse, avec un Col de l’Épine quasiment désert où le rythme imprimé par Matt était plutôt bon.
S’en suis un retour par le Petit-Bornand, avec 2/3 neurones déconnectés pour l’occasion (réalisé sur route fermée par des professionnels et dans des conditions optimales de sécu… ah non).
Bref, bonne matinée de roulage à refaire, malgré la circulation un peu trop présente. M’enfin ça m’a permis de tester mes nouvelles pièces RacingTouchSport et de dégourdir les cylindres de ma chère et tendre après la petite révision des 24k (encore merci pour le coup de main Boby).
Ah, et j’ai faiili oublier, le clou du spectacle : l’Africa Twin qui se fait bouchonner par 2 Monster et qui fini par les déboiter salement, j’en ai eu la larmichette à l’oeil. 😛
On a pas fait beaucoup de pause mais voici quelques photos faites avant d’arriver au col de la Colombière :
Un peu de technologie : Grace a ça vous pouvez télécharger la trace GPX et voir la courbe des altitudes. Et la version google maps est dispo ICI
La prochaine fois j’y passerai moins vite sur cette bosse ! 🙂
Sinon pas mal la trace GPS avec les reliefs Grand-Père 😉
Oui je teste mais il y a une chose de bizarre si tu regarde bien … on a pas fait 360 km de route mais plutôt la moitié.