Dans la continuité du billet précédent voici notre épopée à bord du ferry…
Au terme de notre route Grenoble-Marseille se trouvait l’embarquement pour la terre promise des motards (celle avec les routes qui tournent tout le temps … suivez un peu 🙂 ).
Déjà avant d’y arriver nous avons eu le droit à la minute blonde de Miss Monster !!! Explications :
Donc nous arrivions à Marseille, jusque là un parcours sans faute (sisi c’est vrai). On suit les panneaux gare maritime (normal), l’un des panneaux indique de prendre la voie sur la droite. Miss Monster met son clignotant pour prendre la voie de droite pis au dernier moment lorsque les voies se séparent définitivement revient sur les deux voies qui allaient tout droit… résultat on a fait un tour de Marseille (ou presque).
Bref on trouve l’entrée (où on essaye de nous refourguer des bibles) pis c’est le long moment de l’attente pour l’embarquement en plein soleil :
Mais julien ne se laisse pas abattre par la chaleur et en profite pour faire la pause goudronnage de poumons :
Et on en profite pour mitrailler encore un peu plus, avec plus ou moins de réussite :
On la refait moins crispée (mais pas pour tout le monde :
Sur celle-ci on peut apercevoir le chargement de la « Z » … faut avouer c’est rustique 🙂 :
Et enfin (au bout de quelques litres de sueurs) c’est l’embarquement à proprement parler :
A l’aller, nous avions des billets SNCM. Il faut savoir que les motos sont embarquées les premières et que donc après avoir récupéré vos billets d’embarquement vous pouvez « gruger » la queue pour vous poser tout devant. (C’est le personnel chargé de l’embarquement qui nous l’a dit je précise 🙂 ).
Le dispositif d’arrimage des motos est impressionnant à la SNCM (enfin sur le Pascal Paoli en tout cas). Simplicité et efficacité.
Ensuite nous trouvons les fauteuils car nous avions décidé de ne pas prendre de cabine à l’aller (c’est une mauvaise idée d’ailleurs). Là nous nous sommes changés et ce fût le drame. Car une journée complète à mariner au soleil dans les pantalons moto et ça cocotte sévère (enfin surtout moi).
Donc il faut aussi noter que des douches sont à disposition même pour ceux qui ne prennent pas de cabine… ça permet de mieux respirer.
Pis nous sommes allés … au bar. Bon faire des photos aussi mais au bar surtout.
Les photos (au revoir le continent) :
L’instant bière …
La bière : une passion
Sinon il y avait un truc marrant c’était le Coca Corse :
Il est 23 heures et le bar ferme … heureusement car il y en a une qui commence à être pompette 🙂
Donc nous dormions dans une salle pleine de fauteuils mais c’est super chaud de dormir là dedans … du coup Julien a tapé le squat dans les halls :
Et moi comme je n’arrivais pas à dormir, je suis allé attendre l’aube sur les pont avant et arrière (comme ça j’ai pu jouer avec l’APN) :
Enfin la Corse !!!!
Une heure avant d’arriver au port l’équipage balance de la musique Corse dans tous les haut parleurs et annonce que nous allons accoster dans l’heure suivante…. Direction le restaurant pour un petit dej et nous voici prêt à affronter la Corse.